miércoles, 6 de octubre de 2010

II

Un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux.
— Et je l’ai trouvée amère. —
Et je l’ai injuriée.
(Arthur Rimbaud, Une Saison en Enfer).

C

omme j’avais expliqué la dernière fois, la beauté est inhérente aux temps et à la culture, mais est-ce qu’il y a par hasard un élément continu? Est-ce que nous pouvons dénote la beauté?

Dr. Sigismund Schlomo Freud a vécu comme un alchimiste médiéval: un intellectuel qui a cherché la solution à notre problématique. Bien qu’il soit connu pour ses théories de la psychanalyse, il a développé observations et investigations importants de la liaison qui la joint avec la sexualité et l’instinct.

Aussi nous pouvons voir le travail qui a fait José Ortega y Gasset, philosophe espagnol du siècle passé. Il a exposé dans ses Teorías del Amor, que la beauté est la représentation idéalisé de notre-même.

Au contrarie de Erich Fromm, qui pensait que la beauté est construit et il n’est pas catégorique. De tout façon :

« Laisse les belles femmes à ceux-là qui ne possèdent pas d’imagination. »

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